Aide à la conception du scénario
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Aide à la conception du scénario
Structure de l’intrigue
Outre les règles dramaturgique communes à tous scénarios, voici quelques points stratégiques d’une intrigue de film d’horreur:
1. L’amorce, c’est à dire une entrée en matière particulièrement mystérieuse et terrifiante qui n’a pas forcément de rapport direct avec le/la protagoniste de l’histoire.
2. La présentation du/de la protagoniste et surtout de sa faille. Dans ce genre de films, le personnage principal a très rarement un passé sans histoires ou un quotidien parfait. Il est en général marqué par un deuil ou traumatisme quelconque qui lui rendra le fléau à venir particulièrement insoutenable.
3. La découverte de l’angoisse/phobie du/de la protagoniste, obstacle supplémentaire pour affronter les évènements futurs. Il est indispensable que le spectateur s’attache rapidement à ce personnage, à ce qu’il ressente de l’empathie à son égard, sinon, il ne craindra pas pour sa survie au cours du récit.
4. L’isolement géographique/moral/psychologique du personnage, il doit se trouver dans un lieu et une situation qui le privent de secours éventuels, qui vont rendre la fuite impossible.
5. Les fausses pistes, des évènements ou personnages qui vont faire sursauter le public, jouer avec ses nerfs (et ceux du protagoniste) alors qu’ils ne sont pas réellement menaçants.
6. Les premières attaques « frontales » du monstre/tueur, c’est à dire les moments où le public découvre cet antagoniste et son pouvoir de nuire. Il est judicieux en revanche d’en donner plus à voir au public qu’au protagoniste de manière à renforcer l’ironie dramatique.
7. L’enquête du protagoniste qui décide de prendre les choses en main, de découvrir qui est le tueur et pourquoi il agit de la sorte.
8. La confrontation finale, le moment où le héros fait face à l’antagoniste et doit le vaincre.
9. L’épilogue au cours duquel on constate à quel point le protagoniste été métamorphosé par l’expérience qu’il vient de vivre. Il a notamment vaincu l’angoisse qui le tenaillait au tout début de l’histoire, ce qui n’empêche qu’il ressort en général très abîmé, moralement et/ou physiquement de cette épouvantable aventure.
10. Le clin d’oeil démoniaque, particulièrement adressé au spectateur afin de lui faire comprendre que le cauchemar est loin d’être terminé…
Outre les règles dramaturgique communes à tous scénarios, voici quelques points stratégiques d’une intrigue de film d’horreur:
1. L’amorce, c’est à dire une entrée en matière particulièrement mystérieuse et terrifiante qui n’a pas forcément de rapport direct avec le/la protagoniste de l’histoire.
2. La présentation du/de la protagoniste et surtout de sa faille. Dans ce genre de films, le personnage principal a très rarement un passé sans histoires ou un quotidien parfait. Il est en général marqué par un deuil ou traumatisme quelconque qui lui rendra le fléau à venir particulièrement insoutenable.
3. La découverte de l’angoisse/phobie du/de la protagoniste, obstacle supplémentaire pour affronter les évènements futurs. Il est indispensable que le spectateur s’attache rapidement à ce personnage, à ce qu’il ressente de l’empathie à son égard, sinon, il ne craindra pas pour sa survie au cours du récit.
4. L’isolement géographique/moral/psychologique du personnage, il doit se trouver dans un lieu et une situation qui le privent de secours éventuels, qui vont rendre la fuite impossible.
5. Les fausses pistes, des évènements ou personnages qui vont faire sursauter le public, jouer avec ses nerfs (et ceux du protagoniste) alors qu’ils ne sont pas réellement menaçants.
6. Les premières attaques « frontales » du monstre/tueur, c’est à dire les moments où le public découvre cet antagoniste et son pouvoir de nuire. Il est judicieux en revanche d’en donner plus à voir au public qu’au protagoniste de manière à renforcer l’ironie dramatique.
7. L’enquête du protagoniste qui décide de prendre les choses en main, de découvrir qui est le tueur et pourquoi il agit de la sorte.
8. La confrontation finale, le moment où le héros fait face à l’antagoniste et doit le vaincre.
9. L’épilogue au cours duquel on constate à quel point le protagoniste été métamorphosé par l’expérience qu’il vient de vivre. Il a notamment vaincu l’angoisse qui le tenaillait au tout début de l’histoire, ce qui n’empêche qu’il ressort en général très abîmé, moralement et/ou physiquement de cette épouvantable aventure.
10. Le clin d’oeil démoniaque, particulièrement adressé au spectateur afin de lui faire comprendre que le cauchemar est loin d’être terminé…
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